Etre prêtre un jour ? Pourquoi pas moi ?
Certains d’entre vous se sont peut-être déjà posé la question… Mais il n’est pas toujours facile de prendre du temps et de trouver un lieu pour y réfléchir.
J’ai 25 ans et je prépare le concours pour être professeur des écoles. Depuis longtemps, je me pose la question de devenir prêtre un jour. Mais bien occupé par mes études, je n’ai jamais pris le temps pour discerner. Je préférais repousser cette idée à plus tard…
Début juin, j’ai découvert cette proposition : « 10 jours pour découvrir la parole de Dieu, prier, relire son histoire ». 10 jours loin de chez moi, avec des jeunes qui comme moi se posent les mêmes questions ! Ce qui m’a motivé à m’inscrire fut la possibilité d’alterner temps de prière, d’enseignement et de relecture. Tout cela dans une grande discrétion.
Frères dans le Christ
Durant 10 jours, j’ai vécu un beau temps fraternel par le partage et la vie communautaire. Les temps de relecture de ma vie m’ont permis d’avancer dans ma réflexion. J’ai découvert avec les autres jeunes présents que nous n’avions pas tous le même parcours dans l’Église, avec chacun un appel bien différent. Mais tous, nous avions un attachement au Christ.
A la fin de ce temps de discernement, je peux dire que je n’ai pas la certitude que je serai prêtre un jour, mais je sais qu’aujourd’hui au plus profond de moi-même, j’en ai le désir. A la rentrée, je commencerai la formation proposée par le groupe de formation universitaire (GFU). Un week-end par mois je rejoindrai une vingtaine de jeunes pour commencer le parcours. Parallèlement à cela, je continuerai mes études.
Ce temps de discernement est une chance pour notre Église aujourd’hui. Tout comme la formation en GFU qui permet à un jeune de débuter une formation tout en continuant ses études et ses engagements. Je me dis aujourd’hui que c’est dommage que je n’ai pas osé faire le pas plus tôt !
A la fin de notre session , tous n’ont pas poursuivi vers une entrée au séminaire. Dans une grande liberté nous sommes repartis par des chemins différents mais tous nous nous sommes reconnus comme frères dans le Christ !
En savoir plus sur la Session Saint-Irénée et les Groupes de Formation Universitaire.
Commentaires
A toi la parole.
Les GFU ne sont pas assez connus, cette proposition qui permet à des jeunes en discernement de poursuivre leurs études en prenant les moyens d’un vrai discernement en parallèle mérite d’être diffusée et encouragée !
j ai 20 ans et je veux devenir petre mais les moins me manques,mais je me bat pour paye ma scolarite le probleme que j ai c est mes parents sont pauvretmalgre ça je tiens toujours a ma vocation , je jure que c est pas facile ,mon secret cest ma foi au christe
j’ai 16ans et je veut devenir pretre mais mon probleme c’est mon pere qui ne l’accepte pas.moi je tiens toujours à ma vocation.mes amis eux croient en ma vocation.je crois qu,un jour mon pere finira par l,accepter.
Confiance en vous, moi je ressens l’appel du christ depuis l’age de 12ans mais je l’ai gardé dans le secret de mon coeur jusqu’à 25 ans. chacun son cheminement. je ne connaissais pas les GFU mais cela est vraiment bien afin de permettre à des jeunes de commencer un discernement et une formation en même temps.
Eric
Je survole le site et je viens de lire ton message.
Je suis prêtre dans le diocése d’Arras (Pas de Calais) depuis 20 ans.
Je dis assez souvent que je suis un prêtre heureux et heureux d’être prêtre.
Je te souhaite bon courage et bonne continuation, en espérant que ça s’arrange avec ton père.
C’est beau et formidable en tous les cas, que plusieurs personnes croient en ta vocation.
Je te souhaite de t’épanouïr dans ta vie chrétienne. C’est le meilleur moyen pour que ton père se rende compte que c’est (peut-être) la voie du sacerdoce qui est faite pour toi.
Bon courage
Jean-Marie
Je connais un prêtre, à la retraite maintenant, qui est entré au séminaire avec son “certif” comme on disait: bien lire, écrire et compter. Cela a été possible. Rien n’est impossible à Dieu à condition que les humains L’aident!
bonjour!
moi je désir etre pretre du christ et je veux vivre le gout du sacerdoce ;car la plus grande joie c est de vivre en communion avec le christ pour ramener à lui ceux qui sont perdu .
que le seigneur lui meme fasse de moi un pretre de son église.
moi j’ai 21 ans et je fais ma 2éme année de graduat en économie mais je ne termine pas l’année suite au non paiement des frais et je reprends automatiquement ,alors que je souhaitais m’engager après la G3.peut être un obstacle à ma vocation et quoi faire
MON HISTOIRE: MA VOCATION
Né d’une famille de 4 enfants au départ, d’un simple couple chrétien, j’étais le deuxième fils et cadet de ma famille avec un grand frère et deux grandes sœurs.
En première année primaire,on a connu une tragédie qui jusqu’ aujourd’hui reste dans notre mémoire_la mort suicide,inouie et mystique de mon grand frère.c’est pendant la messe de funérailles que la famille avait renouvelée et même renforcée sa relation avec Dieu car cette dernière n’était que superficielle au départ.
Moi en particulier, j’ai découvert mon appel.Et aussitôt je me suis fait ami du prêtre qui avait présidé à l’eucharistie.
7 ans plutard, ma mère venait de mettre au monde une autre fille, désormais je resterais le fils unique de ma famille avec 3 sœurs.
Je me suis fait scout (Xaveri) avec pour saint patron François Xavier, petit servant de messe.C’est surtout ce dernier service qui atténuera ou renforcera mon appel, un désir me ranimé, celui de devenir comme le prêtre que j’accompagnais à l’autel.
En quatrième année des humanités, j’ai rencontré un ami avec qui on avait la même vocation ou mieux encore la même vision, c’est d’ailleurs lui qui m’invita au service de la sacristie et au groupe de vocation paroissiale. Ensemble avec ce frère, on a entrepris les récollections mensuelles au séminaire diocésain.
Apres deux ans de discernement vocationnel, je me suis rendu compte que je n’étais pas appelé a la vie séculière ou à la vie diocésaine. Pendant que mon ami faisait son entrée au grand séminaire diocésain, moi par contre je partais à la recherche des congrégations religieuses et des instituts missionnaires tout en restant au service de mes parents dans la gérance de la pharmacie familiale.
Je venais de découvrir ma première congrégation mais dommage car après une année de discernement, j’ai decouvert qu’elle etait une semi-contemplative ou semi-monastique alors que l’esprit de Saint François Xavier m’habitait et me poussait à la mission.
Eurêka,!!! Je venais de découvrir celle qui d’après moi devrait être ma congrégation, l’institut missionnaire de la Consolata, une congrégation missionnaire active.je me suis donné à fond corps et âme parce que je ne voulais surtout pas louper cette opportunité.Dommage pour moi car après une année de discernement, j’ai été refusé au moment òu j’étais le favoris par mon niveau intellectuel aussi bien que par ma donation totale et mon sens de service fort remarqué par tous. Que faire ainsi va la vie.
Déçu de la vie consacrée dans mon pays caractérisée par tant de pratiques anti-cléricale notamment le tribalisme, le racisme, les injustices, la jalousie, l’égoïsme et beaucoup d’autres méfaits.En effet,ces pratiques sont causées non seulement à cause du mauvais cœur de l’homme mais aussi à cause de la floraison, l’abondance des vocations dans mon pays.les séminaristes en générales sont négligés, remerciés c’est à dire exclus à temps et à contre temps.Un énorme risque et danger se présentent dans l’Eglise en Afrique surtout dans mon pays car la vocation est corrompue et se dégrade au jour le jour.
Suite à tout cela,je pensais que j’allais abandonner ma vocation mais chose étonnante j’ai redoublé les forces pour le Seigneur et je me suis dit d’aller voir ailleurs hors mon pays et mon continent pour ainsi concrétiser ainsi le rêve de mon saint Patron.
Cela a commencé par le contact avec les séminaires Européens. Vous allez peut-être me demander pourquoi seulement l’Europe? La réponse est simple car c’est elle qui m’a évangélisé;et que tous commencent par l’Europe,nul ne peut ignorer que c’est elle qui influence tout le monde entier y compris l’ Amérique.Citons seulement le rejet des béatitudes,la pédophilie,l’homosexualité et tant d’autres abominations.On se croyait peut-être à la fin du monde.Il est vrai ce jeune homme de 21 ans seulement qui vous écrit et que je suis est vraiment audacieux.Non, je ne suis pas seul il y a aussi beaucoup d’autres qui luttent déjà ou qui lutterons avec moi.
Mes contacts avec les séminaires Européens se sont soldés en échec car la hiérarchie et l’ordre de l’Eglise demandent à ce qu’on passe par son évêque avant toute forme de recommandation.En effet, mon évêque d’après son chancelier avait refusé de me recommander tout en m’imposant sans tenir compte de mes aspirations de devenir prêtre dans son diocèse.
Pendant que je me préparais pour renoncer à cette vocation car je n’avais plus de choix un réconfort me viendra de la part du récent Pape, sa sainteté le pape Benoît 16 lors des JMJ de Madrid par ce message.je cite:”jeunes, ne renoncer jamais à vos aspirations mais dans toutes les épreuves, faites preuve de courage, de persévérance et de confiance en Dieu”.
Sur ce,l’idée de me faire moi même missionnaire m’est venu à l’esprit avec beaucoup d’enthousiasme, et que le seul moyen de sortir légalement du pays était les études.
En septembre de l’année passée, j’ai pris l’admission à l’université catholique de Louvain en philosophie mais je n’ai pas pu présenter une prise en charge à l’ambassade.
C’est alors que je me suis retrouvé en inde car les démarches pour y étudier étaient très faciles.Je tiens à vous rappeler que l’inde est la terre de mission de mon saint patron François Xavier, il fut même martyrisé ici dans l’île de San Cia, et qu’il est aussi le saint patron de mon archidiocèse de Bangalore dont nous célébrons le jubilé de diamant cette année.
Il y a 10 mois passés depuis mon arrivé en inde, j’avais parlé avec les prêtres pour ma vocation, ces derniers m’ont parlé de la même chose c’est à dire retourner dans mon pays afin de demander la recommandation à mon évêque.
Alors que les études ont été pour moi le seul moyen légal de sortir de mon pays afin d’aller servir Dieu.je n’ai aucune intention de me distraire avec les études mondaines qui pour moi ne constituent pas une priorité car je pense avant tout à me mettre au service de la parole et de l’Eucharistie en ramenant les brebis perdues.
Je me sens perdu mais le feu de l’Espérance me ranime encore, je vis dans l’espérance, le courage et la confiance en Dieu, je continue ma route de mendiant d’espérance, de pèlerin tout comme les disciples d’Emmaüs jusqu’à ce que le Seigneur viendra croiser ma route bien que je fais déjà route avec Lui dans mes joies et surtout dans mes difficultés quotidiennes.
Fils attaché à la Mère de l’eucharistie, mère de tous les appelés, modèle parfait de toute âme consacrée à Dieu, ma Mère et mon amour, la Très Sainte Vierge Marie, Notre Dame du Rosaire.Qu’elle veuille toujours sur moi et ne me laisse jamais me séparer de son Fils Jésus Christ en dépit de la routine de pires tentations.
Oh Très Sainte Trinité, PÈRE, FILS et ESPRIT SAINT ne permet pas que je me perde, garde moi, protège moi afin que je vous serve toujours avec mon corps, mon âme et mon esprit pour les siècles des siècles.
Ainsi soit-il
j aimerai me tourné vers dieux
j habite st brieuc qui a conseil ?
merci
svp aidé moi je veux être serviteur de DIEU mais je ne sais pas comment je veux être prêtre je veux servir DIEU.