Thomas, engagé dans la démarche Diaconia 2013
Diaconia 2013 est une démarche visant à élargir la responsabilité du service des frères à tous les membres de l’Eglise. Thomas s’est impliqué à plusieurs reprises dans le projet. Il témoigne !
Je connais Charlotte qui travaille pour Diaconia, par la CoJP (Coordination des Jeunes Professionnels) dont elle est présidente. Pour la CoJP je m’implique essentiellement dans des questions de travail graphique et notamment sur une refonte du site internet et autres visuels comme l’affiche et le tract de l’événement JPentecôte.
Par son intermédiaire, j’avais déjà rendu de menus services à Diaconia, notamment en réalisant un logo symbolisant une attitude de développement durable lors des rassemblements chrétiens.
J’ai donc été rappelé par l’équipe Diaconia afin de travailler sur un projet de calendrier qui couvrirait la période du Carême, le temps de Pâques et s’arrêterait à la Pentecôte. Je me suis engagé pour cette période, à réaliser chaque semaine deux pages avec des illustrations qui serviraient d’interface aux propositions des différents mouvements participant à ce projet.
Pour cela, il a fallu faire une création de mise en page, inventer des personnages et imaginer d’autres dessins… Reconnaissables d’une semaine sur l’autre, les personnages sont faits pour accompagner les lecteurs du site : pour poser des questions, montrer de l’enthousiasme, donner les thèmes…
“Ces petits riens qui donnent de la valeur à ce que l’on fait”
Les autres illustrations, portes d’entrée du calendrier, souvent sous forme de paysage, viennent illustrer l’évangile de la semaine et servir de base aux réflexions proposées. Il a fallu ainsi méditer un peu (en effet, comment aborder des thèmes comme Bartimée, le bon pasteur, l’Ascension, la Pentecôte, ou plus difficile, la Résurrection ?). Et trouver du temps chaque semaine, souvent dans les dernières minutes (compter deux / trois heures), très bon stimulant pour débloquer les idées.
Bien que l’on donne, il y a toujours des petits riens, des remarques, des commentaires, ces retours gratuits qui donnent de la valeur à ce que l’on fait. Par exemple, savoir que certains ont prié devant la représentation que j’avais fait de saint Thomas touchant les plaies du Christ, c’est en quelque sorte avoir réussi à dire ou montrer un petit quelque chose de Dieu et à le communiquer puisque cette proximité était manifestement présente par la prière.
Pour finir, c’était un chouette travail en équipe écartelé entre le nord où je réside, Paris où se trouve l’équipe Diaconia et Angers où se trouve Michel le Webmaster du site.
Merci à tous…
Thomas Masson, 31 ans, en études d’art à Saint-Luc Tournai puis à l’Ecole Nationale Supérieure des Arts Visuels de la Cambre (ENSAV) / Bruxelles. (section dessin)
www.atelierthomasmasson.fr
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A toi la parole.
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